Happiness is a warm, wet Rico reed...
Il y a un disque dont je ne me lasserai jamais (enfin, il y en a plus d'un, mais il faut bien que je trouve une façon d'introduire ce qui va suivre), c'est les «Nights at the Keystone» de Dexter Gordon. Long Tall Dexter, George Cables, Rufus Reid et Eddie Gladden... en 1977, ou par là...
Le même groupe à voir et entendre sur cette vidéo. Alors : c'est long. 18 minutes. Ce qui n'est pas une mauvaise chose. Dexter y est au soprano, ce qui m'embête un peu plus parce que c'est sa sonorité de ténor, pulpeuse et râpeuse à la fois, que j'adore. Point de chevauchée solitaire de Cables avec retour magistral du tandem rythmique non plus, hélas...
Mais la magie... ! La magie... L'annonce de Dex (cette voix !...), sa présence titubante... cette rythmique d'anthologie... Et ça, c'est du concentré de bonheur.
On y va ?
On y va... Make Eddie glad !
Le même groupe à voir et entendre sur cette vidéo. Alors : c'est long. 18 minutes. Ce qui n'est pas une mauvaise chose. Dexter y est au soprano, ce qui m'embête un peu plus parce que c'est sa sonorité de ténor, pulpeuse et râpeuse à la fois, que j'adore. Point de chevauchée solitaire de Cables avec retour magistral du tandem rythmique non plus, hélas...
Mais la magie... ! La magie... L'annonce de Dex (cette voix !...), sa présence titubante... cette rythmique d'anthologie... Et ça, c'est du concentré de bonheur.
On y va ?
On y va... Make Eddie glad !