Quand le scanner s'emmêle... Un
Quelqu'un avait probablement oublié de désactiver la correction orthographique automatique...
Quoi qu'il en soit, les pages nous réservaient quelques surprises.
Ainsi «The good Lord has set me free» était-il devenu «The good Ford has set me free» (nous y vîmes l'influence du «Swing low, sweet Cadillac» de Dizzy).
Ainsi «Besame mucho» s'intitulait-il désormais «Besame macho».
Ainsi l'ami Bix Beiderbecke, victime d'une multiplication inattendue, se voyait-il présenté comme «Six Beiderbecke».
Ainsi «I am going back to Jesus» était-il métamorphosé en «I am going back to Jeans» (que je sous-titrai illico «Le blues du prêtre défroqué»).
(à suivre...)